Avant les caprices dispendieux chez Radio France, Monsieur Gallet roulait déjà sans craindre la dépense. Son goût des palaces et ses frais de bouche à l'INA laissent bouche bée... tout comme la taximania de celle qui lui succéda. À comprendre qu'au nom de l'État se lient turpitudes et servitudes.

Des jours durant à l'entraînement, le sumo Sakasaké combat son avant-bras droit avec lequel il fait alliance à l'occasion des Grands Tournois.

Monsieur Denis Baupin (dont on n'osera le patronyme au féminin) vertement pris à partie par d'ex-groupies pour plotage sauvage. Effet d'un échauffement politico-macho.

Jean-Phi quelle quiche ! Attablé au bar des Sports avec bibi et Victor, il nous sort : « Ma belle-mère pour ses soixante ballets nous invite à l'Atelier Étoile chez Reblochon ». Du fond du café, René penché sur son tiercé : « Robuchon, espèce de cerveau à pâte molle ».  

Oui, oui, révoltés étudiants, la sueur et le sang de vos parents, grands-parents... est bien là, dedans. On comprend que liquider l'acquis sans ménagement provoque votre énervement.

Anarcho-dandysme

Attitude combinant contestation du pouvoir et élégante impertinence.

Exemple au boulot : débarquer en réunion fringué en beau Brummell actuel et commenter les décisions de votre chef de service sur un ton qui laisse à penser que la bêtise n'épargne pas l'autorité.

Malm, tueuse d'enfants en série

Sous couvert de ranger pas cher, la commode Malm a fait à ce jour trois jeunes victimes. Armée de ses tiroirs coulissants, elle peut à tout moment basculer dans l'atrocité.

Clito ravi, clito durci... un écho sage du printemps.

Ça sent la merde                                       
De Londres à Pékin                        
Ça sent la merde                                       
Chez les rupins
Ça sent la merde                                       
De Londres à Pékin
Ça sent la merde                                       
À plein tarin…

Sur l’air de "La Bière" de Brel

Jan Fabre s'est fait voir chez les Grecs. Prétextant un manque de temps, il voulait gourmand un festival 100% flamand... là où les autochtones artistes sont indigents, sans scène aucune à se mettre sous la dent.

Pour saluer cette tentative de colonialisme culturel avortée dansons des sirtakiss au bon air de brebiss !